Si l'on ajoute les votes blancs et nuls aux abstentions, il n'y a qu'un électeur sur quatre qui a répondu à la question sans intérêt que Jospin et Chirac s'étaient entendus pour poser aux électeurs.
Aujourd'hui, tous les partis qui ont appelé à voter oui ou non essaient de se dédouaner du fiasco de ce référendum.