Plus le temps passe, plus le " plan de sauvetage " du groupe AOM-Air Liberté se révèle être ce qu'il est : un plan destiné à jeter à la rue, en faisant le moins de vagues possibles, des centaines de salariés de cette société.
La presse, le gouvernement, les syndicats de l'entreprise, nous avaient affirmé qu'on avait trouvé un bon repreneur, dont le porte-parole était un militant syndicaliste. L'entreprise allait être sauvée.