Les élections européennes ont lieu dimanche. L'écoeurement et le dégoût suscités par la politique antiouvrière du gouvernement doivent s'exprimer.
Tant que nous ne sommes pas en mesure de faire reculer le gouvernement, nous sommes bien forcés de subir sa politique, mais nous pouvons dire que nous la rejetons. « Qui ne dit mot consent », dit le proverbe. Eh bien, il ne faut pas laisser croire que nous sommes consentants !