Ce mardi 12 juin a été un nouveau temps fort de la mobilisation des travailleurs du rail. Cette « journée de la colère cheminote », un succès, montre à nouveau que les cheminots rejettent l’attaque du gouvernement.
Précaires ou non, du public ou du privé, d’une entreprise grande ou petite, c’est en tant que travailleurs que leur combat nous concerne. Les cheminots défendent tout ce qui compte pour n’importe quel travailleur : leurs conditions de travail, leurs salaires, leur relative sûreté de l’emploi. Avec leur grève, ils font un premier pas pour s’opposer aux attaques que nous subissons tous.