La grève dans les services d’urgence prend de l’ampleur. Partie il y a trois mois d’un hôpital à Paris, elle touche maintenant une centaine d’établissements dans toute la France.
La situation y est désastreuse parce que le manque de personnel et de moyens est criant et parce que, comme dans tout le reste de la société, c’est la course à la rentabilité qui dicte sa loi.