La tension monte dans le golfe Arabo-Persique. Depuis que les États-Unis ont interdit à l’Iran de vendre son pétrole, le détroit d’Ormuz, ce bras de mer large de quelques dizaines de kilomètres où circulent des milliers de pétroliers venant du monde entier, est devenu le point chaud du conflit.
Pour l’instant, il y a eu des drones abattus, des pétroliers attaqués ou arraisonnés et des déclarations menaçantes. Cela n’ira peut-être
pas plus loin et, après coup, ces événements seront présentés comme une des nombreuses périodes de tension finalement retombées. Mais rien ne le garantit.