Fermeture des bars et des salles de sport ; universités qui ne peuvent plus accueillir que la moitié des étudiants ; fermeture des salles des fêtes ici, des piscines là… Même si les décisions sont décentralisées région par région, la tendance est partout la même : les restrictions pleuvent, et l’angoisse de contaminer nos proches monte. C’est un aveu d’échec et le signe de la faillite de la politique gouvernementale.
Du côté de la population, beaucoup d’efforts sont faits. Les gestes barrières, les masques et les protocoles sanitaires ont réduit la vitesse de contamination. La seconde vague est donc bien inférieure à celle de mars-avril. L’expérience aidant, les hôpitaux savent mieux traiter et prendre en charge les malades. Toutes choses qui devraient permettre d’aborder la situation plus sereinement. Eh bien, ce n’est pas le cas !