Le capitalisme a fait du sport, et du football en particulier, une affaire de gros sous. Les clubs, les sponsors, et même les joueurs, brassent des millions. Chaque compétition planétaire met en jeu des milliards, qui atterrissent dans les caisses des bétonneurs, des équipementiers, des chaînes de télévision, des publicitaires, des hôteliers, etc.
Tout cela est connu depuis longtemps. Mais le fait que le Mondial se déroule cette année au Qatar a poussé cette logique capitaliste jusqu’à des sommets de grossièreté et d’absurdité.