Après le feu vert du Conseil constitutionnel, Macron s’est empressé de promulguer la loi. Et le soir du 17 avril, au journal télévisé de 20 heures, il a essayé de tourner définitivement la page.
Avec la même arrogance et les mêmes mensonges, il a justifié d’imposer deux ans de travail ferme pour tous les travailleurs. En guise de baume apaisant, on a eu droit à des paroles en l’air sur les salaires et le pouvoir d’achat.