Depuis des mois, Macron étale son mépris des travailleurs en rejetant leurs principales revendications, le refus de la retraite à 64 ans et l’indexation des salaires sur les prix. Le voilà maintenant à se faire mousser avec une prétendue réindustrialisation.
Vendredi 12 mai, à Dunkerque, il a dit son amour des ouvriers et de l’industrie. Lundi 15 mai, à Versailles, il a déroulé le tapis rouge aux PDG étrangers pour qu’ils investissent en France. Un des symboles de cette industrie verte et pourvoyeuse d’emplois serait la voiture électrique et l’implantation d’un « hub de batteries » dans les Hauts-de-France.