C'est, paraît-il, la reprise économique. Mais tout ne va très bien que pour les grandes entreprises, qui ne cessent d'enregistrer des profits vertigineux, et par voie de conséquence pour leurs plus gros actionnaires, dont les actions voient leur valeur augmenter régulièrement (plus de 55 % en un an).
Tout va très bien aussi pour l'Etat qui, grâce à cette relative reprise économique, et à la hausse considérable du prix des carburants, enregistre des rentrées fiscales bien supérieures à celles qu'il attendait. Au point que toute la presse spécule sur ce que Fabius pourrait bien faire de ces rentrées inespérées.