Débarqué dans l'affaire syrienne par les Américains et les Russes, Hollande s'est rabattu, le soir du 15 septembre, sur une interview de Claire Chazal sur TF1. Il a ainsi pu faire, longuement, son autopromotion de chef de guerre. Outre que l'accord signé entre les États-Unis et la Russie ne met pas fin à l'atrocité de la guerre en Syrie, il montre que le zèle belliqueux de Hollande n'était que pitoyable gesticulation destinée à le placer sur la scène internationale.
Pour le reste, Hollande n'a fait que radoter les mensonges patronaux. À la journaliste qui rappelait que 500 000 emplois ont été détruits en un an, et qui demandait comment changer les choses, Hollande a répondu : compétitivité !