Les manifestations qui se sont déroulées un peu partout dans le pays et dans le monde ont rappelé que le 1er mai n’est pas la « fête du travail » qu’a voulu en faire Pétain, et encore moins celle de la patrie que le FN essaie de lui substituer.
Pour affirmer la communauté d’intérêts des prolétaires du monde entier, l’Internationale ouvrière a adopté le 1er mai comme jour de manifestation partout dans le monde. La classe ouvrière revendiquait alors en particulier la journée de huit heures, afin que « l’ouvrier cesse d’être un simple instrument de travail et commence à devenir un homme ».