En multipliant les barrages et les actions choc, les agriculteurs ont forcé le gouvernement à intervenir.
Il a fini par débloquer 400 millions en subventions et exonérations diverses et a promis de revenir sur certaines contraintes écologiques. Il menace de sanctions les industriels et la grande distribution qui abusent de leur position dominante et s’affiche opposé à la ratification du prochain traité de libre-échange négocié par l’Union européenne.