On n'en finirait plus d'énumérer les licenciements collectifs, les fermetures d'entreprises qui se succèdent depuis deux semaines et qui sont annoncés pour les semaines à venir. Et rien ne dit que cela s'arrêtera là.
Aujourd'hui, tout travailleur est un licencié en puissance car les actionnaires veulent toujours plus. Il leur faut des bénéfices, encore des bénéfices, toujours des bénéfices. Non seulement des bénéfices en augmentation, mais des bénéfices supérieurs à ceux de leurs concurrents. Sinon ces actionnaires vendent leurs actions pour acheter celles qui montent.