Rien ne peut justifier ce qui se passe aujourd’hui à Gaza. Depuis le 7 octobre, la terreur s’est abattue sur les Palestiniens de cette mince bande de terre.
Habitations, hôpitaux, écoles sous administration de l’ONU, mosquées ou églises… les deux millions et demi d’habitants n’ont nulle part où se mettre à l’abri des bombardements. Nulle part où s’approvisionner en nourriture, en eau, en carburant ou en médicaments.