À Gaza, depuis trois semaines, l’armée israélienne massacre indistinctement hommes, femmes, enfants, vieillards et malades… Combien sont-ils à avoir perdu la vie ? 8 000 ? Combien de disparus sous les décombres, combien d’autres tués faute de soins, par ce blocus impitoyable, et combien de vies brisées par ce carnage ?
« Chacun attend son tour pour mourir », a témoigné, désespéré, un habitant de Gaza qui a écrit son numéro de téléphone et leur nom sur le corps de ses enfants à même la peau, pour qu’ils puissent être identifiés en cas de bombardement.