La rentrée a donné le coup d’envoi de la campagne présidentielle. À droite, tous les candidats se sont jetés dans l’arène de la primaire. Les sorties de Fillon contre les « mis en examen » et « ceux qui ne devraient pas pouvoir se présenter devant les électeurs » visent ouvertement Sarkozy et marquent le début du pugilat.
Les responsables de droite en appellent à s’abstenir de toute attaque personnelle et demandent un débat d’idées. Mais cette primaire ne peut être qu’un combat de coqs puisque, sur le fond, ils partagent les mêmes idées.